Élever des chevaux, c’est une énorme responsabilité. Pour le plaisir ou pour le travail, il faut toujours prendre soin de ses animaux. Vous devez les emmener de temps en temps voir des vétérinaires, vous devez également leur donner des aliments favorables à leur santé. Selon les spécialistes, l’apport de compléments alimentaires devient utile afin d’assurer le développement d’un poulain. Cependant, depuis quelques années, les compléments alimentaires pour chevaux ont évolué. Sur le marché, les vendeurs en proposent différents types. Comment en choisir correctement dans ce cas ? Voici quelques conseils pour vous aider.

Pour quelles raisons donner des compléments alimentaires à son cheval ?

L’apport des compléments alimentaires pour chevaux ne s’effectue pas sans motif. Avant de rechercher, déterminez d’abord la raison pour laquelle votre animal en a besoin. Cela peut vous aider à vous orienter vers un meilleur choix. Sachez que vous ne devez pas attribuer ce genre de supplément à votre monture, juste parce que votre voisin fait la même chose avec ses animaux. Vous devez disposer d’un objectif bien précis.

Dans la plupart des cas, les compléments s’utilisent pour améliorer la performance d’un cheval adulte, mais qui reste en bonne santé. Vous pouvez aussi en donner à votre monture afin de soutenir son organisme entier lors d’un changement de saison. D’un autre côté, un étalon âgé, en convalescence, qui rencontre un problème de santé précis peut aussi en avoir besoin.

Quel complément pour un cheval en bonne santé ?

Pour quelle raison attribuer des suppléments à son étalon lorsqu’il est en bonne santé ? En général, cela a pour objectif de booster sa performance. Dans ce cas, optez pour des compléments alimentaires pour chevaux survitaminés. Le plus souvent, ils se donnent en cure ou bien en seringue à l’animal. Privilégiez les produits qui contiennent une grande quantité de vitamines B. Ces dernières participent à l’activation rapide du métabolisme énergétique.

Quel complément pour un cheval malade ?

Le complément à donner à un cheval qui rencontre des problèmes de santé ne doit pas être identique à celui qui s’attribue à un étalon en bonne santé. Cette fois, optez pour des produits contenant toutes les vitamines nécessaires pour renforcer le système immunitaire de l’animal.

Pour un cheval âgé, préférez des suppléments capables de le soutenir afin de vieillir dans le confort. Optez pour des compléments alimentaires pour chevaux contenant plutôt des antidouleurs, surtout, si votre animal rencontre des problèmes musculaires et articulaires.

Quoi qu’il en soit, avant de prendre une décision, prenez toujours le temps de demander l’avis d’un vétérinaire ou d’un médecin spécialisé. Il est possible que votre animal rencontre des problèmes de santé que vous ne connaissiez pas. Il peut même avoir des allergies à certaines substances présentes dans les compléments alimentaires.

Comme les humains, le cheval a besoin d’un bon petit massage pour récupérer d’une journée d’activité physique intense. Que ce soit pour les chevaux de course ou pour les chevaux de travail, cette procédure est fortement recommandée. Découvrez les gestes simples à effectuer pour masser son cheval.

Pourquoi masser son cheval ?

Une longue journée au galop peut être pénible pour un cheval surtout s’il ne bénéficie pas des soins adaptés. La fatigue, les courbatures et les tensions sur ses muscles sont susceptibles d’entraver sa santé et ses performances. Masser son cheval est un moyen efficace de soulager les douleurs ainsi que les tensions musculaires dont souffre votre animal après une rude journée. Cela va aussi agir sur sa circulation sanguine, le système nerveux et sur le stress du cheval. D’un autre côté, masser son cheval est un moyen efficace de lui faire regagner de la force. En effet, les massages permettent de lui faire travailler ses muscles, et de relâcher les contractions dues aux exercices physiques. Sans compter que le massage aide à tisser des liens avec le cheval, c’est-à-dire à augmenter la relation de confiance entre le cavalier et le cheval. Ainsi, masser son cheval après une longue journée au galop ne peut qu’être bénéfique pour les deux parties.

Quelles zones faut-il masser ?

Suite à une journée d’activité physique, une grande partie du corps d’un cheval est épuisée et demande un massage. Cependant, certaines zones comme la tête et la colonne vertébrale sont à éviter surtout si vous débutez dans le massage pour cheval. Contentez-vous tout simplement d’étirer la tête du cheval vers le bas et vers le côté afin de le soulager des douleurs sur cette zone. Il est plutôt conseillé de se concentrer sur les parties charnues à savoir l’encolure, la croupe et les flancs. Pour soulager les membres, en revanche, il est conseillé de privilégier les bandes de repos au massage. Vu que les chevaux sont sensibles à ces endroits précis, il est préférable d’en poser le soir, après la longue promenade.

Les techniques pour un massage parfait

D’abord, le massage doit être effectué sur un cheval en bonne santé. Ce qui veut dire qu’avant de masser son cheval, il est primordial de vérifier s’il ne souffre pas de tendinite, s’il n’est pas blessé ou s’il ne souffre pas d’une maladie quelconque. Ensuite, masser son cheval nécessite du temps et de la préparation. Si par exemple vous êtes pressé, vous risquez de lui faire du mal avec des massages encore plus douloureux et stressants. Il est conseillé de prendre au moins une trentaine de minutes pour que le massage apporte des bienfaits au cheval. Commencez par des gestes doux pour ne pas faire du mal à votre cheval. Ce n’est qu’après avoir chauffé les zones à masser que vous pourrez augmenter en intensité. Entre-temps, jetez un œil à la réaction de votre cheval. Dans le cas où il s’agite ou réagit négativement à vos massages, cela veut dire que vous vous y prenez un peu trop fort.

Afin d’assortir votre garde-robe avec la robe du cheval, il est conseillé de connaître les couleurs qui peuvent être associées et l’agencement parfait des couleurs. Découvrez comment assortir correctement sa tenue du cavalier avec la robe du cheval.

Vêtements et pantalons du cavalier

La tenue du cavalier doit différer en fonction de la couleur de son cheval. En général, le but est de trouver les couleurs de sa tenue avec celle de son cheval. Pour mieux assortir votre garde-robe, les vêtements et les pantalons que vous portez doivent impérativement se baser sur la couleur de la robe et du cheval en question. Bien évidemment, si votre cheval est de couleur blanche, le mieux est d’opter pour des vêtements de couleur bleu marine. Combiné avec la couleur blanche, le bleu marine donnera un contraste unique, un look stylé et à la fois naturel. En revanche, si vous avez un cheval de couleur noire, choisissez plutôt des vêtements de couleur rouge, violette ou jaune. Le noir nécessite une tenue de couleur vive pour apporter de la chaleur au style du cavalier. Pour un cheval dont la couleur est comprise dans la gamme du marron, par exemple l’alezan, vous pouvez choisir une tenue de couleur noire ou grise selon votre préférence.

Accessoires pour cavaliers

Les accessoires sont parmi les éléments essentiels pour bien ressortir la tenue du cavalier. Parfois, il suffit juste de mettre une tenue standard et de l’accompagner d’accessoires assortis à la robe du cheval. Ainsi, les bottes, la ceinture, le sac et tout autre accessoire doivent être bien calculés. Pour les femmes, il est même possible d’assortir ses vernis à ongle avec la couleur des accessoires et de la robe du cheval. Pour ne pas qu’il y ait trop de couleurs, il est également important de prendre la couleur de la selle du chasse-mouche et du licol du cheval. Veillez à ce que tous les accessoires pour chevaux soient dans la même gamme de couleurs, ou, si vous voulez un peu de contraste, de deux ou trois gammes complémentaires. Enfin, pour un plus dans votre look de cavalier, vous pouvez ajouter un collier avec un pendentif cheval à votre tenue du cavalier.

La couleur du gant, du casque, et des bottes

Le gant, le casque et les bottes sont des équipements essentiels pour parfaire le look du cavalier. Ils n’ont pas seulement un rôle d’embellissement, ils sont surtout utilisés depuis des siècles pour protéger le cavalier des éventuelles chutes, des éraflures ou tout autre type de blessure. Pour bien réussir sa tenue du cavalier, il est essentiel d’avoir en sa possession des gants, des casques et des bottes de différentes couleurs selon la couleur du cheval. Généralement, les cavaliers préfèrent choisir ces équipements de la même couleur pour ne pas surcharger le look final de cavalier. Aussi, la plupart préfèrent des équipements de couleur sombre comme le noir, le bleu marine ou le marron de manière à les assortir avec la selle et la couleur du cheval.

Si votre cheval à une crinière courte, il y a beaucoup de choses que vous pouvez faire. Les extensions et les élastiques ajoutent une touche d’élégance à l’encolure d’un cheval. Voici un aperçu des styles de crinière les plus populaires que vous pouvez adopter pour aider à donner à votre cheval une meilleure prestance.

Pourquoi coiffer votre cheval ?

Le tressage de crinière de cheval ne distingue pas seulement l’animal, la pratique a une histoire intéressante. C’est un moyen courant que les propriétaires de chevaux utilisent pour augmenter la beauté de leur cheval. Mais saviez-vous que la pratique remonte à des centaines d’années, et a commencé plus par fonction que par mode ? L’une des premières raisons de tresser la crinière d’un cheval était d’empêcher les cheveux de s’emmêler dans l’équipement d’équitation, agricole (pour les chevaux de travail) et l’armement (pour les soldats et les chasseurs à cheval). Les tresses sont également devenues un moyen d’aider les gens à distinguer un cheval prestigieux d’un cheval de « rang inférieur » dans les batailles ou les chasses. Outre les aspects pratiques et esthétiques, coiffer son cheval aide également à empêcher les cheveux de la bête de se nouer.

Les extensions

Les crinières longues et soyeuses sont l’accessoire ultime pour les chevaux. Faire pousser votre cheval à une crinière fluide, cependant, demande beaucoup de soins et d’efforts. Commencez par leur donner une alimentation saine, riche en protéines de haute qualité et en vitamines essentielles. Une nouvelle croissance prend du temps, mais tout cheval peut développer une crinière impressionnante avec du temps et des soins. En attendant, les extensions peuvent être une solution rapide pour coiffer son cheval et donner du volume et de la longueur à la crinière. Leur utilisation améliore l’apparence sans faire perdre les fonctions essentielles. Il existe également une variété de couleurs différentes. Il est important d’utiliser le bon style d’extension, car un style mal assorti, ainsi que des extensions qui ne sont pas de la bonne longueur et/ou qui ne sont pas correctement fixées, dénaturera votre cheval.

Les élastiques

L’un des plus grands avantages d’avoir un cheval est le fait que vous pouvez coiffer vos chevaux avec une belle crinière. Alors que vous devez toujours garder à l’esprit que la crinière et la queue ont des objectifs importants, dans le bon contexte, coiffer son cheval est à la fois amusant et pratique. Dans le ring d’exposition, un bon travail de tressage ou de tissage montre non seulement la courbe du cou de votre cheval, mais il empêche également la crinière de gêner votre visage en saut. Vous pouvez faire une conception de tresse simple en utilisant des élastiques à cheveux au lieu de tresser des élastiques pour plus de punch.

Dans la discipline de l’équitation, nombreux s’interrogent sur le type de selle à utiliser. Le cavalier a largement le choix parmi plusieurs modèles de selles. Toutefois, la principale question reste le choix entre la selle en cuir ou en synthétique. Comment choisir sa selle pour garantir le confort ? Que faut-il prendre en compte pour l’adapter au cavalier et au cheval ?  Le cuir est-il mieux que la synthétique ou inversement ?

Une selle adaptée, selon quelques critères

Le choix entre le cuir et la synthétique peut être une question de goût. Pourtant, il faut adapter la selle d’après plusieurs critères. D’abord, la selle de cheval, peut, selon la discipline pratiquée, exister en plusieurs types. Comme le dressage, l’obstacle, le cross ou le polo, elle doit convenir par rapport aux multiples disciplines existantes. Ensuite, elle doit correspondre au niveau du cavalier et du cheval. Le niveau de pratique de l’équitation influe sur la matière de selle à utiliser. Pour une monture à caractère de loisir, il est préférable de choisir la synthétique, facile d’entretien. Par contre, pour les pratiquants de concours de chevaux, il faut opter pour du cuir assurant le confort et la technique. Par ailleurs, la selle de cheval dépend de la corpulence du cavalier et du cheval. Enfin, le budget est important à prendre en compte dans le choix de la selle.

Selle en cuir : avantages et inconvénients

Le cuir est un matériau noble et naturel par excellence. Concernant la selle de cheval, il apporte quelques avantages. En effet, le cuir possède un caractère esthétique hors du commun. Son naturel et son côté classe font de lui un matériau luxe et de qualité prestigieuse. De plus, il possède une solidité, une souplesse et une résistance inouïe. Le cuir offre également une solution durable puisque sa durée de vie élevée lui permet de se démarquer. Un autre avantage du cuir pour votre selle est la possibilité de le personnaliser sur mesure. Ces qualités permettent aux cavaliers d’acquérir le confort et la technique de par sa solidité et sa souplesse. Toutefois, le cuir demande une énorme attention. Ainsi, il exige un entretien méticuleux pour qu’il conserve sa qualité. De plus, son coût est élevé par rapport à la synthétique.

La synthétique : une valeur sûre pour les jeunes cavaliers

La selle de cheval en synthétique possède de nombreux atouts. Vu que c’est un matériau léger, il est plus pratiques pour les jeunes cavaliers et les femmes. Elle est vivement conseillée pour les enfants.  D’ailleurs, en matière d’entretien, la synthétique est facile à nettoyer. Il ne nécessite qu’une éponge, de l’eau et éventuellement du savon pour son nettoyage. De plus, elle sèche très rapidement ce qui permet de l’utiliser dans des conditions climatiques variées. Une selle synthétique offre un confort et de la technique avec un prix moins cher. La synthétique est plus accessible que le cuir. Cependant, son inconvénient est sa durée de vie plus courte.

Le tapis de selle n’est pas qu’un simple coussin, c’est ce qui définit la connexion entre vous et le cheval. Si vous êtes amateur d’équitation, vous êtes sans doute du même avis, l’apparence importe autant que la performance. Ainsi, une selle qui a fière allure ajoutera beaucoup de personnalité à votre monture.

Pourquoi choisir un tapis à rayures ?

Les contrastes vifs et les combinaisons frappantes font des motifs rayés un délice pour les yeux. Les rayures améliorent l’impact visuel de votre monture et le mélange de largeurs et couleurs ajoute un dynamisme. Les rayures audacieuses représentent un design classique. Il est associé à un fort sentiment d’estime de soi.

Le tapis pour cheval à motifs rayés expriment diverses idées en fonction de la direction des bandes. Les rayures horizontales apaisent et créent un équilibre, comme le sentiment de tranquillité offert par les couchers de soleil et les paysages. Les rayures diagonales peuvent perturber et impliquer un mouvement, une énergie et une action rapide. Les rayures verticales offrent fluidité, force et mouvement, mais sont plus dramatiques que perturbatrices.

Motifs à pois pour un côté plus chic

D’un autre côté, un tapis pour cheval à pois peut combiner d’allégresse, fantaisie et chic.

Les pois noir et blanc sont aussi emblématiques que les femmes qui les ont rendus chic. Si vous optez pour ce motif de selle, c’est que votre personnalité est probablement aussi vive et énergique que l’imprimé ludique. Il y a quelque chose dans la simplicité des cercles parfaits couplé avec des noirs et blancs à contraste élevé qui rend ce look classique, particulièrement attrayant.

Si vous aimez les pois mais que vous voulez éviter les vibrations « Minnie Mouse », éloignez-vous des cercles parfaits. Les bavures tachetées et imparfaites de style dalmatien sont une grande variation inattendue sur ce thème.

Et au-delà de l’esthétique ?

Pour protéger et mettre en valeur la robe de votre monture, un tapis de sel bien  tapis de selle ajusté est impératif. Plus qu’une question d’esthétique, un tapis approprié protège le dos de votre cheval et aide également à préserver votre selle. Le choix du bon pad dépendra de plusieurs critères.

Faire correspondre les contours de la selle à la carrure de l’animal est essentiel pour avoir un tapis pour cheval qui n’entraine pas une sensation inconfortable pour le cheval et pour vous aussi d’ailleurs.

Assurez-vous de faire correspondre le coussin et la selle. Les coussinets de dressage auront une forme carrée au lieu de suivre la ligne de rabat de la selle, contrairement au coussin à contact étroit plus courte. Optez pour les coussinets standards si vous cherchez le juste milieu.

Les tapis en molleton et en coton sont les plus populaires car ils absorbent facilement la sueur. Il peut également être synthétique, en peau de mouton ou en laine.

Savoir différencier les différentes races de chevaux est un atout considérable pour tout éleveur de cheval. Toutefois, cela nécessite beaucoup d’attention, de l’analyse et un minimum de connaissances sur les différentes races. Découvrez comment reconnaître les races de chevaux.

Les différentes races de chevaux

Actuellement, on compte plus d’une centaine de races de chevaux dans le monde. Cette multitude de race est due aux différents croisements qu’ils soient naturels ou provoqués par l’homme. Le cheval Arabe, le pur-sang anglais et le Karabair sont parmi les races les plus connues et les plus fréquentes du monde. Connaitre les races de chevaux est primordial pour les parieurs, les agriculteurs et les personnes qui pratiquent l’équitation. Certaines races sont par exemple parfaites pour les courses, le sport et l’endurance tandis que d’autres sont plus adaptés au dressage, au loisir, au travail, etc. Ainsi, la détermination des races de chevaux permet à l’acheteur ou au propriétaire de connaitre leur usage. D’autre part, la nutrition et les besoins alimentaires du cheval sont également liés à sa race. De ce fait, toutes les personnes qui souhaitent garder leur cheval en pleine forme et en bonne santé doivent essentiellement se renseigner sur les races de chevaux.

Observer la morphologie d’un cheval

La morphologie est un des signes les plus évidents pour reconnaitre les races de chevaux. Il s’agit de la taille, la forme de la tête, les caractéristiques des membres du corps et la largeur des hanches et des épaules. Il est également possible de se référer sur la ligne du dos l’encolure ou encore sur la silhouette pour reconnaître facilement les races de chevaux. Particulièrement pour la taille, elle différencie les chevaux des différentes races comme le poney, les chevaux de trait, et les chevaux de selle. L’étude de la taille peut révéler si le cheval est hypométrique ou de petite taille, eumétrique c’est-à-dire de taille moyenne ou hypermétrique lorsque sa taille est relativement élevée. Certains spécialistes se basent aussi sur l’hippologie pour reconnaître les races de chevaux. Ils se concentrent sur les différentes caractéristiques externes du cheval notamment la couleur, les taches et la répartition de leur robe. Quant à l’étude morphologique globale, il suffit d’attribuer une forme géométrique spécifique à chaque cheval pour déterminer sa race. Au pur-sang anglais, par exemple, est attribué le carré parfait.

La provenance du cheval

Même si la provenance d’un cheval peut s’entremêler suite aux modifications génétiques, il est toujours possible de reconnaître les races de chevaux en se basant sur sa provenance. En effet, les conditions environnementales et les techniques d’élevage contribuent dans l’évolution de la morphologie du cheval. Or, chaque pays a son propre climat et ses propres techniques d’élevage à savoir la nutrition, le temps d’exercice, etc. Ainsi, la plupart des pays du monde détiennent au moins une race spécifique de cheval propre à lui. Parmi les races françaises les plus connues, on compte le Corse, l’Auvergne, le Castillonnais, le Camargue qui ont certaines caractéristiques similaires, parfaits pour reconnaître leur race.

Le cheval est un animal social, c’est-à-dire qu’il vit en groupe et a besoin de ses congénères pour se sentir en sécurité. Le fait de vive dans un groupe plus ou moins restreint améliore ses chances de survie, c’est pour cela que le cheval a naturellement besoin d’interagir avec ses semblables. Au contraire, isoler un cheval perturberait son bien-être mental, et pourrait même le rendre agressif. Afin de rendre votre cheval heureux, il est donc nécessaire de le sociabiliser, mais quels sont les gestes simples à mettre en œuvre pour cela ?

Mettre le cheval en contact avec les autres de manière progressive

Pour sociabiliser son cheval, il faut commencer le plus tôt possible, quelques semaines après le sevrage. Si vous avez la possibilité de travailler avec un jeune poulain, il faut le faire. Il ne faut surtout pas l’isoler dans un box tout au long de la journée, au contraire il faut le sortir et le mettre en contact avec d’autres chevaux. Au départ, veillez à séparer les enclos de manière à ce que les chevaux puissent se voir mais pas se toucher. En effet, lorsqu’un nouveau membre entre dans un troupeau, les autres individus peuvent se montrer agressifs, il doit donc passer par une phase d’acceptation qui se fait de manière progressive. Cette méthode fonctionne aussi avec les chevaux plus âgés, mais prendra un peu plus de temps, armez-vous de patience. Le cheval est un animal social, rare sont ceux qui ne supportent pas la vie en groupe, il suffit juste de les habituer.

L’introduction du cheval dans le troupeau

De manière générale, après la phase de mise en contact visuel, il faut introduire le cheval dans son nouveau troupeau. Pour ce faire, il faut encore se tourner vers ce qu’il se passe dans la nature. En fait, un cheval solitaire qui cherche un troupeau, fait son choix. C’est lui qui décide du troupeau qu’il veut intégrer. Cela n’est pas toujours possible avec des animaux domestiques, si vous ne possédez pas un grand troupeau. Pour se rapprocher le plus possible du processus naturel, intégrer votre cheval dans un troupeau dans lequel il aura le plus de choix possible. Cela va grandement faciliter sa socialisation. Aussi, il est important d’avoir un grand enclos, afin que les animaux puissent reculer ou s’éloigner si nécessaire. Cette étape peut aussi prendre un peu de temps, vu que tous les chevaux ont leur propre caractère.

L’importance d’une bonne socialisation pour un cheval

Malgré que le cheval soit un animal domestiqué, il garde tout de même une part de son caractère naturel. Garder ses habitudes naturelles permet de lui offrir un bien-être et un équilibre mental. De plus, il sera plus facile de dresser ou de travailler avec un cheval heureux. Le cheval sera plus calme dans la majorité des situations, il sera aussi plus docile, car il se sentira en sécurité. Enfin, n’oubliez pas que la socialisation d’un cheval doit se faire de manière continue.

Si vous voulez que votre cheval effectue tous les ordres que vous lui donniez, le débourrage est un processus à réaliser. En effet, vous devez connaître le moment idéal pour réussir un débourrage parfait et sans complication. Prenez le temps de lire cet article et découvrez l’âge parfait pour débourrer votre poulain.

Le débourrage d’un cheval

Tout comme l’école maternelle dans laquelle vous enseignez vos enfants à compter ou à apprendre l’alphabet, débourrer son cheval est également une étape capitale lorsqu’il s’agit d’éduquer son poulain. En général, le débourrage se fait avant le véritable dressage et la spécialisation de votre cheval. Il consiste à l’initier à accepter une selle ou un cavalier sur son dos. Aussi, débourrer son cheval instruit l’animal à appréhender et à accomplir des ordres. En effet, le but est de l’habituer à être manipulé et à être monté. Le débourrage va aussi contribuer à forger le caractère de l’animal durant sa vie.

L’âge parfait pour débourrer son cheval ?

Afin qu’il obéit aux doigts et à l’œil, il est important de connaître l’âge parfait pour débourrer son cheval. Tout d’abord, sachez que le caractère et le moral d’un cheval varient en fonction de son âge et de son dressage. Un poulain de 2 ans ne possède pas par exemple la même la faculté d’apprentissage qu’un jeune cheval de 7 ans. De ce fait, si vous voulez réussir un débourrage, le moment pour le réaliser doit être bien choisi. Beaucoup sont les cavaliers qui débourrent leurs poulains âgés de moins de 6 ans. Il semble simple à effectuer à cet âge puisque le cheval est encore faible et facile à manipuler pourtant cela peut engendrer de nombreux contraires à l’animal. En effet, cela peut affecter son physique et son caractère en cours de développement. L’os et le muscle du cheval sont encore très fragiles pour supporter un poids. En revanche, certains cavaliers préfèrent attendre que leurs chevaux soient âgés de 7 ans ou plus pour procéder à son débourrage. À cet âge, le cheval est plus mature moralement et plus robuste pour accomplir toutes les tâches que vous lui demandez.

Bon à savoir

Débourrer son cheval peut s’avérer très compliqué lorsque qu’on ne possède pas les compétences nécessaires dans le domaine. Pour que le débourrage soit mené à bien, il est donc primordial que vous ayez ces quelques notions de bases en tête. La confiance est avant tout une chose à gagner si vous voulez que votre poulain réagisse calmement pendant que vous lui mettiez un poids ou une selle sur le dos. En effet, elle vous permettra de créer un lien fort et garantira une relation saine et stable avec votre animal. Le débourrage nécessite aussi du temps et de la patience. Par conséquent, pour mieux dresser votre animal, vous devez être patient.

Comme tous les herbivores, le cheval a des besoins nutritionnels spécifiques. Pour avoir un cheval fort et en bonne santé, il est nécessaire de veiller à ce que son alimentation soit saine et de qualité. Comment bien nourrir son cheval ? Voici quelques conseils.

Besoin nutritionnel d’un cheval

Avant de nourrir son cheval, il est important de s’informer sur ses besoins alimentaires. D’abord, le besoin quantitatif dépend de sa physiologie, de ses conditions de vie et essentiellement de son activité physique. Un cheval de course, par exemple, a besoin de se nourrir plus que les autres chevaux. Le besoin qualitatif en revanche, est commun à tous les chevaux, qu’il soit jeune, vieux, etc. Pour une alimentation variée et équilibrée, il faut principalement nourrir son cheval d’herbes de pâturage. Ces dernières, si elles sont de qualité, contiennent les éléments nécessaires au développement du cheval. Cependant, le cheval a aussi besoin de se nourrir de fourrage comme le foin et la paille. Il est important de savoir que le foin est un ensemble d’herbes fauchées, souvent utilisé pendant la période d’hivers. Il conserve les éléments nutritifs et a donc plus de valeur nutritive pour le cheval. En revanche, la paille étant un ensemble de tiges, elle contient donc peu de cellulose et est peu nutritive.

À quelle fréquence ?

La ration journalière d’un cheval doit couvrir à la fois les besoins d’entretien et les besoins de travail d’un cheval. Ainsi, la quantité ingurgitée par jour varie d’un cheval à un autre selon son âge, son poids, sa race, sa taille, et le niveau d’activité physique. Pour bien nourrir son cheval, le mieux serait de fractionner les repas autant que possible. En effet, l’estomac du cheval est petit, ce qui fait qu’il se vide très vite. En d’autres termes, plus l’apport d’aliments est fractionné, plus cela convient à votre cheval. Entre-temps, n’oubliez pas d’hydrater votre cheval. Non seulement l’eau aide à la bonne digestion du foin et des herbes, mais elle est aussi un élément fondamental au fonctionnement de son organisme et est donc plus que nécessaire au développement de votre cheval.

Les compléments alimentaires pour chevaux

Pour assurer la qualité de l’apport alimentaire d’un cheval, il est possible de nourrir son cheval avec du foin ou de la paille en y ajoutant des compléments alimentaires. D’une manière générale, ils contiennent tous les éléments nécessaires au bon développement du cheval. Les compléments alimentaires sont surtout utilisés lorsque le cheval est en pleine croissance ou lorsque le cheval est vieux. Mais ils sont aussi utilisés pour renforcer les capacités physiques d’un cheval sportif. Toutefois, il est important de savoir bien choisir le type de compléments alimentaires adapté à votre cheval. Les produits de qualité sont à privilégier pour éviter tout risque d’indigestion, ou pire, d’intoxication alimentaire du cheval.

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